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Libye: Infrastructures

 

La Libye a mobilisé d’importants moyens financiers (USD 25 milliards) pour réaliser “le Grand Fleuve Artificiel”,  un projet d'irrigation de grande ampleur qui a débuté en 1984 et s'est achevé en 2010 destiné à accroître la surface de terre cultivable. Totalement indépendant des financements étrangers, le pays possède d'énormes réserves de pétrole qui représentent en 2011 environ 97% des recettes d'exportation totale, 75% du revenu du gouvernement et 54% du PIB, le pays a fait du raffinage du pétrole un de ses secteurs économiques principaux.

Une analyse des importations et des projets d’investissement en cours et des projets programmés (2011) permet de conclure à l’existence d’un grand potentiel de Projets d’infrastructures et de BTP sous des formes différentes : routes, assainissement, travaux municipaux, environnement, adduction d’eau. En outre, l’Energie est porteuse de projets de 11 milliards de Dinars Libyens et l’Habitat a des besoins estimés à 500 000 logements et plus. Parmi les opportunités d’affaires on cite généralement:

les matériaux de construction, les matériels électriques, les produits agroalimentaires (produits de la pêche, huile de table, fruits et légumes en conserves, boissons, fromages, etc), le textile – habillement (prêt-à-porter, linge de maison, couvertures), le cuir (chaussures, vêtements et articles en cuir), et les services (BTP, ingénierie, TIC, distribution…).

Les grands projets destinés à moderniser et mettre en valeur le pays. Voici quelques exemples de contrats en cours de signature ou de réalisation : aéroports de Tripoli (20 millions de passagers), de Bengazi (5 millions), routes urbaines (périphériques, échangeurs…/ Transafricaineet), génération, transport et distribution d’électricité (4.373M€), dessalement d’eau de mer, télécommunications (moderniser le pays par les équipements GSM, GPRS, fibre optique…).

Si on ne peut pas récuser la conséquence de la crise financière et pétrolière pour lLa Libye a mobilisé d’importants moyens financiers (USD 25 milliards) pour réaliser “le Grand Fleuve Artificiel”,  un projet d'irrigation de grande ampleur qui a débuté en 1984 et s'est achevé en 2010 destiné à accroître la surface de terre cultivable. Totalement indépendant des financements étrangers, le pays possède d'énormes réserves de pétrole qui représentent en 2011 environ 97% des recettes d'exportation totale, 75% du revenu du gouvernement et 54% du PIB, le pays a fait du raffinage du pétrole un de ses secteurs économiques principaux.